À Bell Canada, on travaille pour attraper l’avenir au vol
Aujourd’hui, la durée de vie typique des produits, services et applications numériques peut souvent sembler courte aux consommateurs, mais c’est ce qui rend le travail si passionnant chez Bell Canada, où suivre le rythme de l’évolution perpétuelle du paysage numérique est la première des tâches.
« Tout l’univers numérique est sans cesse en développement, explique Anuja Sheth, première vice-présidente, services technologiques et technologies de l’information à Bell Canada. Pensez à l’apprentissage automatique, à l’internet des objets, au nuage, aux nouveaux services de diffusion en continu qui naissent sans cesse. Ces technologies et services alimentent l’expérience numérique de l’avenir et nous sommes investis dans chacun d’eux. »
Éloi Minka, directeur du développement des médias numériques à Bell Média, dirige une équipe chargée de créer le logiciel qui alimente la vaste gamme d’offres numériques de Bell Média, avec notamment le service de diffusion en continu Crave ainsi que les sites Web de propriétés médias comme TSN et le Réseau des sports de langue française.
« Il faut construire, entretenir et exploiter ces sites web, explique M. Minka. En outre, nous avons aussi des applications pour toutes ces marques. Et, de nos jours, nous devons être présents à peu près partout où se trouvent nos clients, sur tous les types d’appareils. »
Dans un monde où les changements sont d’une rapidité époustouflante, il est important pour l’organisation d’avoir un apport frais de talents et d’idées. « Nous embauchons environ 1 000 étudiants chaque année et il s’agit d’un mélange de stagiaires et de nouveaux diplômés. Une grande partie de notre recrutement est axée sur les STIM, explique Mme Sheth, qui fait allusion aux sciences, à la technologie, à l’ingénierie et aux mathématiques.
Certaines personnes sortent de l’université en sachant où elles veulent faire leurs débuts, et elles peuvent apporter leur contribution dès le premier jour. Ceci est particulièrement vrai dans le cas des nouveaux diplômés qui peuvent avoir fait deux ou trois stages chez Bell. D’autres recrues participeront à un programme de rotation dans le cadre duquel elles travailleront dans différentes unités de nos activités.
Compte tenu de la taille et de l’envergure de Bell, cela peut être avantageux. Comme je le dis toujours, si vous réfléchissez aux produits et services que nous offrons, vous voyez qu’il y a de nombreuses entreprises au sein de l’entreprise à Bell, souligne Mme Sheth. Vous pouvez occuper tant de postes! »
Bell soutient également l’épanouissement professionnel des employés grâce au mentorat et à la planification de carrière, ce qui implique très souvent la mise à niveau des compétences ou l’apprentissage de nouvelles compétences. « Les érudits du 21e siècle ne sont pas les gens qui savent lire et écrire, mais ceux qui peuvent apprendre, désapprendre et réapprendre, fait remarquer Mme Sheth. Ce cycle est très important pour notre secteur, car les technologies évoluent très souvent. Il y a des choses qui peuvent perdre leur intérêt en un an. »
L’entreprise offre un riche éventail de matériel et de ressources d’apprentissage au sein de son université Bell U. « Si vous occupez un poste particulier et que vous voulez apprendre quelque chose du point de vue de la technologie, vous pouvez accéder à tout un univers de contenu de cours, de matériel et de ressources en ligne, explique M. Minka. Vous pouvez vous inscrire à un cours au sein de Bell et vous former ainsi. »
M. Minka ajoute que l’entreprise encourage tous les leaders à Bell à prendre le temps de se perfectionner dans le cadre de leur équipe, qu’il s’agisse d’évolution technique, de leadership, de diversité ou d’apprentissage et de ressources en matière de santé mentale. Il s’agit de comprendre où les employés veulent orienter leur carrière et les aider dans leur cheminement.
Bell Canada avance en gardant les gens branchés
Le 9 mars 2020, Tanya Nasehoglu est devenue directrice, dimensionnement et mise en place de réseau, chez Bell Canada. Le jour suivant, les restrictions liées à la COVID-19 sont entrées en vigueur et de nombreux membres de l’équipe Bell, y compris Tanya Nasehoglu, commencèrent à travailler à partir de la maison.
Non seulement assumait-elle un nouveau rôle au début d’une crise sanitaire mondiale, mais celui-ci était dans un secteur de l’entreprise où elle n’avait pas travaillé depuis qu’elle s’était jointe à Bell après avoir obtenu son baccalauréat en génie électrique de la Polytechnique de Montréal.
Elle supervise une équipe de centaines d’employés et est responsable de 14 installations qui fournissent des services Internet haute vitesse aux clients de Bell partout au Québec.
« La COVID ne nous a pas ralentis. Nos employés ont fait preuve d’une grande souplesse pour s’adapter à différents environnements de travail et concevoir de nouvelles façons de travailler », dit-elle. « C’est un moment critique, non seulement pour entretenir, mais aussi pour améliorer notre réseau ».
Un chef de file des communications depuis sa fondation en 1880 à Montréal, Bell met en service l’Internet haute vitesse dans plusieurs régions du Québec. Dans le cadre de l’Opération haute vitesse menée de concert avec les gouvernements du Québec et du Canada, Bell fournira des connexions Internet à 100 % par fibre optique à plus de 30 000 foyers et entreprises, dans près de 100 collectivités québécoises.
Dans un effort visant à aider l’accélération du déploiement des services Internet haute vitesse au Québec, Bell a mis en place plusieurs ressources pour offrir aux fournisseurs de services de télécommunications un accès facile au soutien. Cela comprend le Centre d’excellence, qui partage les pratiques exemplaires aux fournisseurs de services, et travaille à améliorer les communications du projet et à fournir une ligne sans-frais pour obtenir de l’aide.
« Nous travaillons sur des projets innovants qui ont des effets sur les gens de tous les coins du Québec », affirme Karine Moses, première vice-présidente, développement de contenu et nouvelles et présidente, direction du Québec. « Un progrès incroyable se fait quant à la façon dont les Canadiens se connectent les uns aux autres et avec le monde ».
Montréal a été l’une des premières villes où Bell a mis en service son réseau 5G, et maintenant, la plupart des régions du Québec y ont accès à la suite d’une expansion ambitieuse dans les municipalités de la province l’an dernier. Bell mène l’investissement en recherche et développement dans l’industrie des communications, incluant un partenariat avec l’Université de Sherbrooke pour concevoir des applications 5G pour l’Internet des objets, la fabrication innovante, et plus.
Tanya Nasehoglu a observé directement la façon qu’a Bell d’aligner sa stratégie d’entreprise et ses politiques en matière des ressources humaines pour favoriser l’engagement et l’avancement des employés. Elle a aussi vu comment l’entière équipe Bell s’est adaptée et a trouvé de nouvelles manières de collaborer.
« Nous avons pu résoudre des problèmes et élaborer des stratégies en mode virtuel avec des équipes de différentes unités d’affaires et des membres d’équipe sur le terrain travaillant sur les services essentiels », dit-elle. « Nous atteignons nos buts, mais nous adoptons une nouvelle approche pour y parvenir ».
Particulièrement pendant la COVID-19, Bell a mis l’accent sur le travail d’équipe et la collaboration pour plus de ses 50 000 membres d’équipe. Avec son nouveau programme de reconnaissance Better Together, les membres d’équipe peuvent se connecter par le biais d’une plateforme de mobilisation, la meilleure dans sa catégorie, et qui permet une collaboration et une reconnaissance simples et opportunes pour chacun.
« En plus de notre investissement continu dans les technologies transformatrices, nous continuons d’investir dans nos membres d’équipe en créant un milieu de travail plus collaboratif qui favorisera la créativité », affirme Karine Moses.
Tanya Nasehoglu décrit les avancées technologiques dont elle a été témoin pendant ses 17 ans avec l’entreprise comme étant nulles autres qu’incroyables. « Ça te pousse à apprendre quelque chose de nouveau. Tu ne peux jamais devenir confortable, tu dois rester agile ».
Elle dit que dans son nouveau poste la technologie peut être différente, mais la dynamique reste la même. « Nous sommes tous motivés à poursuivre l’amélioration », dit-elle. « Nous voulons offrir à nos clients les meilleurs produits ».
Chez Bell, la diversité rend chacun meilleur
Alicia Jarvis s’est jointe à Bell en août 2021 comme gestionnaire de produit principale, portefeuille d’accessibilité. Il s’agissait de son deuxième tour dans l’entreprise, ayant été embauchée à l’origine comme stagiaire après avoir obtenu son baccalauréat en criminologie de l’Université York.
« J’ai un intérêt pour la technologie et une passion pour les droits de la personne », dit-elle. « Travailler chez Bell m’offre continuellement des possibilités d’apprendre tout en travaillant à l’amélioration de l’expérience de nos clients avec nos produits ».
Alicia explique que les progrès technologiques et la compréhension des gens en ce qui touche l’accessibilité ont considérablement augmenté au cours des 10 dernières années.
« Nous travaillons non seulement avec des technologies de pointe, mais nous mettons une priorité importante à les rendre accessibles de façon à ce que chacun ait la possibilité d’utiliser des produits nouveaux et uniques ».
Avec le nouveau programme d’accessibilité, Bell s’engage à créer un environnement exempt d’obstacles pour les membres de l’équipe et les clients, et Alicia Jarvis y joue un rôle clé. Dans le cadre de son emploi, elle travaille avec les équipes de produit pour les aider à comprendre les exigences, les normes et les meilleures pratiques en matière d’accessibilité, et de faire des changements au besoin.
Bell est un chef de file canadien des communications depuis sa fondation en 1880, et ses efforts visant à répondre aux besoins uniques de ses clients l’ont mené vers une approche innovatrice, accessible et inclusive.
« La diversité, l’équité et l’inclusion ont été à l’avant-plan de nos discussions pour soutenir les membres de l’équipe et nos clients », affirme Farshad Kajouii, vice-président, tarification, opérations et affichage, qui s’est joint à Bell il y a 25 ans. « En employant des gens qui reflètent la diversité des communautés que nous desservons, nous pouvons mieux servir nos clients et apporter de nouvelles idées qui amélioreront notre fonctionnement à long terme ».
Né en Iran, Farshad Kajoui est arrivé au Canada à l’âge de 9 ans. Il a été témoin de l’évolution de l’approche de Bell en matière de diversité, d’équité et d’inclusion (« DEI »), et a personnellement fait l’expérience de sa diversité de possibilités. À ses débuts dans l’entreprise, il travaillait les nuits tout en terminant ses études en commerce pendant le jour. Depuis, il a occupé quinze postes différents, y compris huit comme directeur, dans six différents groupes au sein de l’entreprise, passant du réseau, à la technologie et au média.
L’accessibilité n’est qu’un aspect de l’importance qu’accordé Bell à la DÉI. Menée par le Conseil du leadership en matière de diversité et les groupes de ressources pour les employés, l’entreprise a incorporé la DÉI dans tout ce qu’elle fait, des pratiques d’embauche, à l’engagement des employés, à la stratégie d’entreprise.
Ses groupes de ressources pour les employés, lesquels comprennent le Réseau des professionnels noirs de Bell, Fierté chez Bell, et Les femmes chez Bell, continuent de voir grandir le nombre de leurs membres. Ils offrent un éventail d’activités et de possibilités d’apprentissage en mode virtuel à tous les membres de l’équipe. Pendant des années, Bell a bâti des relations avec des organisations axées sur l’inclusion et a récemment établi des partenariats avec Ascend Canada, Black Professionals in Tech Network, Catalyst, Indigenous Works, Lime Connect et The Women in Tech Network.
« Les gens conçoivent les idées, ont les connaissances spécialisées et les perspectives qui mènent l’élan, les possibilités et les valeurs », affirme-t-il. « Avoir une diversité d’expériences conduit à de meilleurs résultats. C’est gagnant-gagnant pour les clients et l’entreprise ».
Bell a mis en place une mesure importante pour régler les effets du racisme systémique sur les personnes autochtones, noires et de couleur (PANDC). Par exemple, l’entreprise a fixé des objectifs pour une représentation des PANDC dans la haute direction d’au moins 25 pour cent d’ici 2025, et son but d’embaucher au moins 40 pour cent d’étudiants et de diplômés faisant partie de la communauté des PANDC est déjà atteint.
« C’est facile d’en parler, mais les résultats découlent des actions, et non des mots, et Bell est déterminé à prendre les bonnes mesures. « C’est quelque chose que j’adore à propos de l’entreprise qui reconnaît qu’il y a toujours plus à faire ».
Pour Bell, la durabilité offre des possibilités d’innover
Catherine Jacques-Brissette a joint Bell Canada il y a près de 10 ans comme consultante pour le groupe des services d’actuariat et des pensions de l’entreprise. À titre d’actuaire en règle, elle gérait les risques financiers à long terme de Bell Canada.
« Personnellement, je ressentais le besoin de faire quelque chose qui me passionnait plus, ce qui m’a attirée vers l’environnement, qui a toujours été proche de mon cœur », dit-elle.
Comme elle l’a découvert, depuis 25 ans Bell réduisait les impacts environnementaux de ses activités opérationnelles. L’entreprise fixait des cibles de rendement de plus en plus ambitieuses en matière d’environnement, lesquelles sont surveillées pas son système de gestion de l’environnement certifié ISO 14001. À ses débuts pour l’entreprise, le leadership environnemental était déjà un outil essentiel de sa stratégie concurrentielle à long terme.
« Cette importance accordée à l’environnement entraîne des occasions à l’interne », affirme Marc Duchesne, vice-président, Sécurité et responsabilité d’entreprise. « Elle mise sur l’innovation et fait en sorte que les membres d’équipe participent au repérage d’initiatives de réduction de la consommation d’énergie ».
En 2021, Bell a mis sur pied Mieux pour tous, un engagement à long terme voulant créer de meilleurs résultats pour les parties intéressées, incluant les collectivités, employés et clients canadiens de partout. Chez Bell, le leadership environnemental, social et de gouvernance (« ESG ») est une partie intégrante de la culture d’entreprise.
L’attachement à la durabilité de Bell s’étend à toute l’entreprise, et aussi à ses clients et ses fournisseurs, visant ainsi à atteindre un futur plus durable.
Par exemple, au cours des cinq dernières années Bell a dépassé ses cibles pour les déchets électroniques et a récupéré des millions de téléphones, de téléviseurs, de modems et de cellulaires. Plus récemment, l’entreprise s’est associée au Fonds mondial pour la nature (Canada) pour donner les revenus de ses programmes de récupération afin d’aider le fonds pour ses initiatives axées sur les changements climatiques.
« Nous sommes déterminés à ce que nos activités opérationnelles deviennent carboneutres d’ici 2025 », explique Marc Duchesne. « Pour 2030, nous avons fixé des cibles de réduction des émissions de GES fondées sur la science, qui sont conséquentes à limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C, dans le prolongement de l’objectif de température le plus ambitieux de l’Accord de Paris ».
Les initiatives environnementales de Bell correspondent aux préoccupations et aux priorités de ses employés et des autres parties intéressées. Dans un sondage réalisé l’an dernier, ces derniers ont désigné les changements climatiques comme étant le problème environnemental le plus important que l’entreprise doit affronter, suivi par la conservation d’énergie et l’adoption de véhicules électriques.
Catherine Jacques-Brissette a passé du groupe des services des pensions de Bell à son équipe de responsabilité d’entreprise et environnement comme analyste principale, intelligence d’affaires. « J’ai appris comment la science actuarielle peut contribuer à la lutte contre les changements climatiques », dit-elle. « J’ai découvert que c’est un domaine où je peux utiliser ma spécialisation en actuariat pour avoir un impact positif ».
Pour réduire l’empreinte carbone de l’entreprise, elle analyse les données collectées par les coordonnateurs des services environnementaux de Bell partout au pays pour les convertir en émissions de carbone.
« Puis, nous fixons des cibles ambitieuses de réduction du carbone et nous élaborons une analyse de rentabilité à être approuvée par la haute direction ». Du conseil d’administration aux techniciens installant l’équipement de réseau, Bell prend tellement au sérieux ses engagements environnementaux que l’entreprise a intégré la durabilité dans ses impératifs stratégiques.
« C’est une occasion double », affirme Marc Duchesne. « Nous travaillons déjà dans un secteur qui émet peu de carbone, mais nous créons et vendons également une technologie qui permet aux gens de réduire leur empreinte carbone. Il nous est non seulement possible de faire la bonne chose, mais nous créons également des produits qui aident les autres à aussi faire cela ».
Bell Canada est bien branchée sur les parcours de carrière
Au printemps 2020, alors au plus fort de la pandémie, Babette Smith termina un diplôme universitaire de premier cycle en génie logiciel à l’Université McGill, ce qui n’était pas exactement le meilleur moment pour lancer sa carrière. Heureusement pour elle, le programme des nouveaux diplômés de Bell Canada lui a offert un début en douceur.
« Le programme des nouveaux diplômés a vraiment été bénéfique », dit celle qui est maintenant développeuse de logiciels dans la division des services de réseaux et de technologies de Bell. « On est jumelé à un mentor qui n’est pas nécessairement dans la même division. On reçoit aussi une formation qui aide à faire des présentations et à améliorer les aptitudes à communiquer ».
Alors qu’elle était étudiante, elle avait aussi fait un stage chez Bell, ce qui lui a fait comprendre la culture de Bell et voir les possibilités de carrière.
De son côté, Michelle McCoubrey a travaillé chez Bell plusieurs étés lorsqu’elle étudiait, elle s’est ensuite jointe à temps plein il y a 22 ans après avoir terminé un diplôme universitaire de premier cycle.
Elle a commencé comme directrice des opérations de répartition. Elle est actuellement vice-présidente, opération sur le terrain, et responsable des techniciens Bell qui installent et réparent les services téléphoniques, Internet et de télévision dans les maisons et les entreprises de l’ensemble du pays.
« À titre de gestionnaire, nous sommes toujours à l’affût de personnes qui seraient bonnes dans des postes de supervision », explique-t-elle. « Nous cherchons des façons d’aider les gens à voir les possibilités qu’ils peuvent explorer ».
Et il y a beaucoup de parcours de carrière à suivre dans une société nationale comptant de nombreuses unités, divisions et entreprises. « J’ai beaucoup bougé pendant ma carrière », affirme Michelle McCoubrey. « Il s’agissait en grande partie de gérer les équipes des opérations, mais j’ai aussi travaillé à la réalisation de projets, à l’amélioration des processus et à la restructuration des activités.
Tôt dans sa carrière, elle fut jumelée à un mentor et elle a tiré avantage des années de conseils personnels qu’il lui a offerts. Le programme de perfectionnement en leadership de Bell lui a également été très bénéfique.
Bell Canada offre un large éventail de possibilités d’apprentissage et de perfectionnement aux personnes en début de carrière ainsi qu’à celles qui ont été promues à des postes de leadership ou de gestion.
« J’ai passé à travers plusieurs différentes versions de ce programme », dit-elle. « Au premier échelon, les cadres de terrain, on apprend, entre autres, la façon de gérer des personnes et de régler les conflits. En passant à des postes différents, cela devient plus axé sur restructurer les activités, influencer le changement ou mettre en œuvre les impératifs stratégiques de Bell ».
Les programmes d’apprentissage et de perfectionnement offrent d’autres avantages moins ciblés. « Cela vous fait réseauter avec d’autres unités d’entreprise, rencontrer d’autres personnes et vraiment voir comment cette grande entreprise fonctionne et comme tout est interconnecté », explique Michelle McCoubrey.
Dans le même ordre d’idées, les possibilités d’apprentissage pour les employés du programme des nouveaux diplômés sont conçues pour enseigner des compétences précises et introduire les jeunes nouveaux venus à l’entreprise plus vaste. « De nombreux cours sont axés sur les compétences non techniques, comme communiquer dans le cadre d’une entreprise, ce qui n’est pas enseigné dans un programme technique comme le génie logiciel », explique Babette Smith. « À la fin de notre première année, nous avions à faire une présentation à un groupe de cinq ou six autres nouveaux diplômés, ainsi qu’à notre directeur et à notre vice-président ».
Elle a aussi participé à un sommet des nouveaux diplômés au même titre qu’environ 180 autres participants du programme. « J’ai rencontré des gens qui ont des formations scolaires différentes et qui travaillent dans des parties diverses de l’entreprise », dit-elle. « Ce programme est conçu pour vous aider à rencontrer des gens qui sont à l’extérieur de votre propre bulle ».