RBC en première place pour établir des liens avec les communautés
En sa qualité de directrice régionale, marketing et citoyenneté, Joanne Durham sait que ses collègues sont motivés à soutenir une noble cause. À n’en pas douter, avec des responsabilités qui comprennent la coordination de différentes équipes qui organisent la Course pour les enfants RBC annuelle, elle a un bon aperçu de leur désir de travailler fort pour redonner à leurs communautés.
Malgré cela, elle a ressenti de l’agitation avant la course : après deux ans d’interruption, les participants prendraient-ils encore part à une activité en plein air en 2022? Depuis 2013, la course suivait un parcours de cinq kilomètres à travers Toronto chaque septembre. Mais, comme pour beaucoup de collectes de fonds pendant la pandémie, les courses de 2020 et de 2021 ont eu lieu en mode virtuel.
Puis, RBC a adopté un format hybride, organisant des courses virtuelles et en personne, et Joanne Durham a eu sa réponse.
« Le jour de la course, c’était tellement inspirant de voir cette mer de bleu », dit-elle, faisant référence aux tee-shirts que portaient les coureurs et les bénévoles rassemblés sur la rue Younge. « Et parce qu’il s’agissait du 10e anniversaire de l’activité, on sentait un niveau supérieur d’excitation ».
Tous comptes faits, la course de Toronto a amassé plus de 20 millions de dollars pour le projet d’orientation familiale du Centre des sciences de la santé Sunnybrook. Ce programme sans but lucratif aide les jeunes de 13 à 26 ans aux prises avec des problèmes de santé mentale et d’accoutumance et leurs familles à s’orienter dans le système de santé.
Et ce n’est pas tout. Depuis la première Course pour les enfants ayant eu lieu à New York en 2009, des dizaines de milliers de participants dans les villes de la présence mondiale de RBC ont amassé plus de 70 millions de dollars pour des organismes de bienfaisance pour enfants dans le monde entier.
La plupart des participants sont des employés de RBC, du niveau d’entrée jusqu’à la haute direction, avec leurs amis et leurs familles. Et beaucoup sentent avoir un lien personnel avec la cause. C’est le cas de Kris Depencier, présidente régionale du Grand Toronto, une coureuse, une des plus importantes collectrices de fonds et mère de trois enfants de 12 à 23 ans.
Comme beaucoup de parents, elle a constaté directement l’importance de soutenir le bien-être mental des jeunes et de gérer les effets secondaires de l’isolement prolongé pendant la pandémie. Elle a aussi aidé un de ses enfants à passer à travers la mort tragique d’un ami.
« Comme parent, ça me brise le cœur de savoir que seul un petit pourcentage d’enfants et de jeunes ontariens aux prises avec certaines formes de problème de santé mentale recevra un traitement approprié », affirme-t-elle.
« La pandémie a rendu le besoin encore plus grand », ajoute-t-elle. « Le nombre de jeunes qui cherchent l’aide du projet d’orientation familiale de Sunnybrook a plus que doublé. Les efforts de collecte de fonds de RBC les aideront à obtenir les soins dont ils ont besoin ».
La Course pour les enfants fait partie de l’engagement plus vaste de la banque envers le bien-être mental, en milieu de travail et dans la collectivité.
Pour les employés, RBC a augmenté les avantages sociaux essentiels en santé mentale de 3000 $ à 5000 $ par année. Également, des programmes comme Employee Care et le navigateur MyHealthCare permettent aux employés d’accéder à un large éventail de ressources et de soutiens en personne et en ligne.
Pour sa part, Objectif avenir RBC est un programme de 10 ans et de 500 millions de dollars visant à outiller les jeunes dans leurs collectivités pour les emplois de demain. Pour surmonter certains obstacles importants pour permettre d’atteindre leur plein potentiel, le programme les aide, entre autres, à accéder aux soutiens et services en santé mentale.
Kris Depencier remarque que les employés qui ont participé à la Course pour les enfants établissent aussi un lien avec le but de RBC d’aider ses clients à s’épanouir et aux collectivités de prospérer.
« Qu’ils courent, collectent des fonds, donnent ou aident d’autres façons, ils deviennent des agents de changement social, et créer un impact positif et au cœur de la façon dont la RBC fait affaire », dit-elle.
RBC est profondément impliquée dans le processus de réconciliation
Au moment où RBC met en place des mesures importantes pour honorer son engagement envers la réconciliation avec les Autochtones du Canada, une mesure en particulier se distingue pour la spécialiste des hypothèques Jessica Shute : la nomination de Roberta Jamieson au conseil d’administration de la banque.
Première Autochtone diplômée en droit du Canada, les réussites impressionnantes de Roberta Jamieson au sein des secteurs public, privé et des organisations à but non lucratif contribueront à ce rôle. Pour Jessica Shute, membre de la Couchiching First Nation, voir une femme forte autochtone s’asseoir à la table revêt une importance pratique et symbolique.
« Les femmes autochtones sont des leaders naturelles », dit-elle. « Elles étaient des leaders dans nos communautés jusqu’à ce que le colonialisme les dépouille de ce rôle ».
Lorsqu’en 2015, la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR) a publié son rapport sur l’héritage tragique du système des pensionnats autochtones du pays, RBC a pris l’engagement d’honorer les 94 appels à l’action de la commission, notamment de travailler en partenariat avec les peuples autochtones pour créer des possibilités à long terme de développement économique durable, d’emploi, d’impact social et d’approvisionnement.
Gopal Bansal, vice-président, diversité et inclusion, affirme que l’histoire de partenariat de RBC avec les peuples autochtones remonte à 1910, lorsque la banque a ouvert sa première succursale dans une région éloignée de la Colombie-Britannique où elle servait la Première Nation des Gitxsan.
Dans les décennies suivantes, ajoute-t-il, RBC a mis en place de nombreux programmes et politiques axés sur un but, soit d’aider les clients autochtones à prospérer et leurs communautés à se développer. RBC améliore aujourd’hui certaines de ces initiatives.
Cela comprend les bourses d’études que RBC offre aux étudiants membres des Premières Nations, Inuits et Métis pour achever leur éducation postsecondaire depuis 1992. La banque a doublé la valeur des 20 bourses d’études annuelles de 10 000 $ chacune de son programme Bourse d’études Objectif avenir RBC pour jeunes Autochtones.
RBC réaffirme également ses engagements de la CVR par le truchement d’activités nouvelles et innovantes. Gopal Bansal remarque que les jours où le « nous savons mieux que quiconque » en s’attendant à ce que les gens acceptent simplement ce qui leur était présenté est maintenant chose du passée.
« Il faut écouter avant de répondre et s’impliquer avant d’agir », dit-il en faisant référence à la façon de participer à la consultation et la collaboration significatives de RBC dans son travail pour aborder les défis que rencontrent encore beaucoup d’Autochtones.
Cela était le cas lorsque la banque a lancé Expérience de mentorat pour Autochtones (RIME) en 2017 après que des employés autochtones eurent indiqué qu’ils voulaient du mentorat adapté à leurs besoins précis. RIME offre un soutien à ceux qui peuvent chercher une familiarité et un endroit sûr avec d’autres employés autochtones, précise Gopal Bansal.
On y trouve aussi un mentorat mutuel parmi les employés autochtones et non autochtones, favorisant l’apprentissage interculturel et l’accès à des conseils de carrière. En tout, près de 500 collègues ont participé au programme, partagé leurs expériences et se sont offert les uns les autres un soutien et des connaissances.
À n’en pas douter, le vice-président affirme que travailler avec les employés autochtones et apprendre d’eux à aider à créer un milieu de travail sûr et inclusif pour tous les employés. Par exemple, le premier groupe de ressources pour les employés (GRE) de RBC, a été le Royal Eagles, fondé en 1990 par des employés autochtones. Il a servi de modèle de rôle à tous les GRE qui ont suivi, dit-il.
Dans le cadre de l’apprentissage et du perfectionnement de l’ensemble des employés, RBC a mis à la disposition de tous le cours en ligne les 4 saisons de la réconciliation. Le cours de neuf modules de l’Université des Premières Nations du Canada présente les réalités et les histoires autochtones de façon facile à comprendre, mentionne Gopal Bansal.
« Nous voulons que nos collègues autochtones sachent que leurs voix sont entendues et qu’une grande valeur est accordée à leurs contributions », ajoute-t-il.
Jessica Shute, comptant 12 ans de carrière dans la banque, affirme remarquer une ambiance différente au travail. « Il y a un dialogue plus libre et un intérêt réel pour la vraie histoire du Canada », dit-elle. « Cette positivité contribue à mon réel sentiment de fierté ».
RBC relève le défi d’atteindre la carboneutralité
Tout au long de mois de planification méticuleuse, Rachel MacLeod et son équipe enthousiaste interfonctionnelle chez RBC ont travaillé fort pour assurer la réussite du premier Défi du Jour de la Terre virtuel de la banque. RBC est résolue à contribuer à l’essor d’une économie durable pour les générations futures et l’équipe voulait que le défi soit une étape amusante et inspirante pendant ce cheminement pour leurs collègues à l’échelle mondiale.
Pourtant, Rachel MacLeod, gestionnaire principale, communications conscience sociale, affirme qu’il est toujours difficile de prévoir comment ira une initiative mondiale de mobilisation. S’ajoutait à l’incertitude la façon dont la pandémie et ses perturbations faisaient en sorte que les gens avaient de nombreuses autres choses en tête.
Par bonheur, dans les jours avant le lancement 2021 de l’événement de trois semaines, les employés de beaucoup d’unités fonctionnelles de RBC ont communiqué avec l’équipe pour demander un aperçu préliminaire des activités planifiées du défi. Ils voulaient s’assurer d’avoir le contenu prêt pour le jour 1, de dire Rachel MacLeod.
En tout, plus de 10 500 employés de RBC dans 19 pays ont achevé plus de 45 000 activités. RBC a récompensé les participants en leur donnant jusqu’à 150 $ chacun à remettre aux organismes de bienfaisance admissibles de leur choix, accordant ainsi plus de 800 000 dollars en dons.
« Les employés de RBC ont soutenu avec ferveur tous les aspects du défi, et surtout de faire quelque chose ensemble », précise-t-elle. « La culture du milieu de travail ici est vraiment quelque chose de spécial ».
Considérant les changements climatiques comme un des enjeux les plus urgents de notre temps, aider ses clients et les collectivités à passer de manière inclusive et ordonnée à une économie carboneutre d’ici 2050 est pour RBC une priorité opérationnelle principale. Habiliter les employés pour qu’ils apprennent sur les initiatives climatiques et de durabilité de grande portée de RBC et s’assurer qu’ils comprennent ce que cela veut signifie pour eux en tant que partie de l’entreprise étaient au cœur du défi.
« Les gens n’associent pas nécessairement les banques à la lutte sur les changements climatiques », dit Alex Boulos, vice-président, climat. « Mais RBC croit que le capital peut être une force pour un changement positif et que les gouvernements et les entreprises vont jouer un rôle essentiel. Mais la sensibilisation globale est aussi indispensable et les gestes individuels comptent, et cela signifie que toutes les personnes de la banque ont une part à jouer afin de contribuer à un futur plus prospère ».
En 2019, la banque a mis en œuvre la Stratégie climatique, une stratégie globale avec des mesures et des engagements à court terme et à long terme soutenant l’objectif de carboneutralité. Un engagement clé, offrir 100 milliards de dollars de finance durable d’ici 2025 a été un si grand succès et si rapide, que RBC a haussé sa cible à 500 millions de dollars d’ici 2025, le plus important engagement du genre au Canada.
Avec un autre engagement important, Techno nature, RBC réunit les universités et les organismes sans but lucratif et tire parti de ses propres capacités dans des domaines tels que l’intelligence artificielle, les chaînes de blocs, et la conception d’appli afin de trouver des solutions innovantes fondées sur la technologie aux défis environnement aux urgents. Ce programme soutient plus de 110 partenaires, avec plus de 27 millions de dollars investis depuis 2019.
Pour présenter la profondeur et l’ampleur de ces engagements sans accabler les participants du défi, Rachel MacLeod et son équipe se sont tournés vers maCommunauté, la plateforme mondiale de RBC qui aide les employés à poser des gestes positifs pour soutenir leurs collectivités.
S’y trouve des options permettant de convenir aux différents styles d’apprentissage, y compris lire des articles pertinents et la Stratégie climatique RBC, écouter des balados, et regarder des vidéos, dit-elle. Les participants étaient ensuite encouragés à faire des dons ou du bénévolat au travail, à la maison, et dans leur collectivité pour protéger la planète. À la dernière étape, ils partageaient des photos de leurs expériences ainsi que leurs propres idées pour lutter contre les changements climatiques.
La rétroaction des employés a permis de garder l’élan tout au long de l’année et aide à guider la planification du prochain Défi du Jour de la terre, mentionne-t-elle. « La passion des employés de RBC pour agir et partager ce qu’ils ont appris est vraiment inspirante ».
RBC amplifie les compétences technologiques pour attirer les meilleurs stagiaires
Melody Sun était déjà excitée d’avoir été sélectionnée pour un programme de stages d’été de quatre mois chez RBC lorsqu’un colis arriva peu avant le début de son stage en mai 2022.
Il y avait à l’intérieur un tee-shirt, une bouteille d’eau et d’autres cadeaux promotionnels au logo d’Amplify. Amplify est le programme à fort contenu axé sur les technologies de RBC où Melody Sun et d’autres étudiants et diplômés de niveau postsecondaire auront bientôt l’occasion de perfectionner leurs compétences professionnelles, techniques et créatives qui sont en demande tout en s’attaquant à des défis importants.
« J’ai été acceptée dans le programme Amplify après un processus d’entrevue unique et j’ai eu beaucoup de contacts avec RBC à propos de ce à quoi m’attendre après avoir commencé », dit la titulaire d’un diplôme d’études supérieures en analyse de données. « Mais recevoir ce colis a rendu cela réel. Je n’avais pas la patience d’attendre! »
Depuis son lancement en 2016, le programme Amplify a passé de cohortes de 32 étudiants à plus de 70 au cours des dernières années. Les stagiaires, aussi connus sous le nom de « Ampifiers », travaillent en équipes interfonctionnelles de quatre, y compris un analyste commercial, et, selon les compétences requises pour chaque défi de l’équipe, un nombre varié de développeurs et d’ingénieurs de données.
Sumit Oberai, vice-président principal, technologie numérique et promoteur de longue date d’Amplify, souligne qu’on demande aux étudiants de résoudre de vrais défis au chapitre des activités qui ont été cernés et proposés par des dirigeants de tous les secteurs d’activité de RBC et touchant, entre autres, les services bancaires aux particuliers et aux entreprises, les marchés des capitaux et les assurances.
« Il ne s’agit pas de problèmes banals », explique-t-il. « Mais bien de défis de haut niveau et sans limites. Les membres d’équipe doivent être créatifs, penser de manière analytique, travailler ensemble, remettre en question le statu quo et concevoir une solution innovante à partir de zéro ».
Avec des cadres responsables, chaque équipe est soutenue par des chefs d’équipe ainsi que par des mentors commerciaux et techniques qui offrent de l’accompagnement et des conseils pendant toute la durée. Des experts en la matière et des intervenants sont aussi disponibles pour offrir des perspectives plus approfondies sur les problèmes assignés.
Les « Amplifiers » reçoivent aussi de la formation sur de nombreuses théories et méthodes, y compris sur Pensée conceptuelle, (« Design Thinking ») un ensemble de compétences et de pratiques stimulant la créativité pour résoudre de manière efficace des problèmes réels.
Sumit Oberai affirme que RBC en tire aussi avantage. En plus de déposer 73 demandes de brevet pour des innovations, la banque a adopté plus de la moitié des solutions conçues par les équipes au cours des années, dit-il.
Puis, il y a la situation dans son ensemble. Non seulement RBC est l’un des employeurs les plus importants du Canada, explique-t-il, c’est aussi l’un des plus importants employeurs du secteur de la technologie avec ses 14 000 employés Tech@RBC qui participent à tout, en passant du maintien de l’infrastructure des TI jusqu’à la théorie de l’apprentissage de la machine.
Et même sans avoir la reconnaissance de marque des grandes entreprises de la technologie, dit-il, RBC concurrence avec tous quand vient le temps d’embaucher les éléments de valeur, et non seulement avec les autres banques.
Et c’est là qu’interviennent les programmes comme Amplify.
« Les étudiants et les nouveaux diplômés sont une partie essentielle de notre avenir et nous voulons qu’ils accomplissent un travail stimulant et important chez RBC », affirme Sumit Oberai. « Après avoir passé le pas de porte, ils peuvent entrer en contact avec la culture de RBC et tendent à reconnaître que c’est un endroit formidable où travailler ».
« Ils y verront d’innombrables possibilités d’apprendre, de s’épanouir et de travailler avec des technologies d’avant-garde qui sont appuyées par les actifs immenses de notre marque établie mondialement et qui est utilisée par des millions de Canadiens ».
Le message passe clairement. Environ 130 anciens d’Amplify travaillent chez RBC dans des postes d’étudiant ou à temps plein. Et parmi ces derniers se trouve Melody Sun qui occupe maintenant un poste de scientifique des données après avoir terminé le programme Amplify.
Même si cela n’était pas sur son curriculum vitae, elle dit avoir tiré une leçon clé de toutes les personnes qui l’ont soutenue avec ses coéquipiers tout au long de ce qui est un programme très enrichissant.
« Soyez bienveillant », dit-elle, « et aidez les autres. Parce qu’en travaillant ensemble, il est possible de surmonter tous les défis ».