La Banque CIBC puise sa capacité à innover dans des parcours diversifiés
La façon dont Wais Mohamed est devenu directeur de l’architecture technologique au sein de l’équipe de l’architecture d’entreprise de la CIBC illustre bien comment un recrutement qui s’écarte des réseaux traditionnels peut donner lieu à certaines des meilleures embauches.
Après sa maîtrise en sciences spécialisée dans les mégadonnées et la veille économique à l’Escuela de Negocios Europea de Barcelone en 2020, M. Mohamed a travaillé pour quelques organisations canadiennes. Cela lui a permis d’affiner ses compétences technologiques et de plonger dans les écosystèmes de la technologie en nuage et de la chaîne de blocs.
Il s’est également impliqué dans le réseau Black Professionals in Tech Network (BPTN), et c’est comme cela qu’il a trouvé un poste à la CIBC. Le trentenaire a rejoint la banque il y a une dizaine de mois. Depuis, il est en télétravail depuis Ottawa.
« L’une des membres du réseau BPTN m’a contacté après avoir vu mon profil sur LinkedIn, se souvient-il. J’ai appris que l’association entretenait des relations solides avec de grandes entreprises des services financiers et de la technologie. Quelques semaines plus tard, elle m’a parlé d’une possibilité d’emploi à la CIBC en tant que directeur dans l’équipe de l’architecture d’entreprise. Je ne m’imaginais pas travailler dans une banque. Ce qui m’a convaincu, c’est l’engagement de la CIBC à l’égard de la diversité et du développement des jeunes talents. »
M. Mohamed est un expert de la chaîne de blocs. Il est notamment l’un des principaux intervenants de la CIBC sur Carbonplace, une nouvelle plateforme de règlement des crédits de carbone pour le marché du carbone à participation volontaire qui facilite le transfert sécurisé et transparent des crédits de carbone certifiés, un élément clé pour atteindre les objectifs de carboneutralité. Il a pris part au projet, dit-il, en prouvant son potentiel et en exprimant un vif intérêt pour la technologie.
Il trouve gratifiant que la CIBC mette l’accent sur la durabilité. Et il ajoute : « Ce que j’aime vraiment, c’est que nous innovons continuellement pour fluidifier l’expérience du client. Vous voulez vivre une excellente expérience en utilisant l’application bancaire ou en faisant une demande de prêt hypothécaire, de ligne de crédit ou de carte de crédit. Vous voulez que tout aille plus vite grâce à la technologie. »
Pour Alysse Anderson, vice-présidente des plateformes de première ligne pour les services bancaires de détail de la CIBC à Toronto, l’un des atouts les plus précieux de l’entreprise est la façon dont elle accueille et soutient les autodidactes avec des parcours très diversifiés. Elle a commencé à travailler à temps partiel au centre d’appels il y a environ 15 ans, alors qu’elle était lancée dans une carrière dans l’industrie des arts créatifs. Elle a ensuite gravi les échelons et acquis une expérience vaste et unique dans le domaine des services bancaires de détail.
« La CIBC est un employeur extraordinaire parce qu’il y a de la place pour évoluer, explique-t-elle. Et j’ai eu beaucoup d’excellents dirigeants qui ont vu mon ancien parcours dans la création comme un atout, et m’ont dit d’en tirer parti. La culture, la possibilité de travailler avec des dirigeants et des membres de l’équipe comme ça, c’est ce qui rend ce travail ludique. On a l’impression d’être en famille. »
Dans son poste actuel, Mme Anderson se spécialise dans la technologie pour les services bancaires de détail de la CIBC, en se concentrant sur la transformation numérique des principales plateformes stratégiques. Améliorer continuellement l’expérience client par l’innovation numérique, dit-elle, « c’est créer un écosystème où les membres de notre équipe peuvent venir avec leurs perspectives et leurs idées authentiques afin de développer les meilleurs produits pour que notre personnel de première ligne puisse passer plus de temps à conseiller les clients. »
Elle a notamment travaillé sur lancement de la première plateforme de vente à distance de la CIBC, l’intégration numérique des clients et le planificateur d’objectifs de la CIBC. « La CIBC est très, très consciente que nous ne sommes plus seulement comparés aux banques, affirme-t-elle. Comment ne pas attendre d’une entreprise qui protège votre argent et se concentre sur la constitution de votre patrimoine qu’elle soit aussi un chef de file dans l’espace numérique? Vous voulez des conseils et des expériences qui sont uniques et personnels, et j’ai vraiment l’impression que la Banque CIBC est au premier rang. »
La CIBC aide à créer une plateforme pour stimuler le marché du carbone
Préparez-vous pour Carbonplace, une nouvelle initiative mondiale de durabilité dont la CIBC se fait la championne en partenariat avec d’autres banques internationales importantes.
« C’est une solution innovante », affirme Matthew Kielek, associé-conseil en durabilité, Marchés des capitaux CIBC. Il explique : « Ce que nous tentons de faire est de concevoir un registre de propriété fiable et sécurisé pour les crédits carbone volontaires et d’offrir une couche de règlement pour soutenir les participants du marché du carbone volontaire ».
Les entreprises qui cherchent à atteindre la carboneutralité avant une certaine date peuvent acheter des crédits qui les aideront à couvrir le dernier mile de réduction, après avoir suivi toutes les pratiques possibles de durabilité dans leur propre exploitation. Les crédits carbone volontaires sont offerts aux entités dont les activités opérationnelles réduisent réellement les émissions. Par exemple, une organisation de la protection de la nature ou une entreprise de stockage du carbone. Carbonplace facilitera les transactions et permettra aux propriétaires de tels crédits de tenir un registre de propriété. La plateforme procurera également une infrastructure de règlement pour les échanges.
Dans le cadre de son vaste engagement envers la durabilité à l’échelle de la banque, la CIBC a fait équipe avec la NatWest Bank PLC du RU, la National Australia Bank, et la Itaú Unibanco du Brésil, afin de commencer à créer la plateforme Carbonplace. Les banques européennes UBS, Standard Chartered et BNP Paribas se sont jointes récemment comme membres supplémentaires.
« La partie la plus passionnante de ce projet est l’effort réuni de banques qui travaillent ensemble pour trouver une solution à un problème planétaire », affirme Matthew Kielek. « Les marchés du carbone volontaires existent en fait depuis plus de 20 ans. Mais il est très difficile d’y naviguer. Cette plateforme remédiera à la friction qui existe aujourd’hui ».
Une autre partie de son travail lui demande de s’impliquer activement afin d’aider les clients commerciaux à réduire leurs empreintes carbone pour atteindre la carboneutralité. Il mentionne avoir conseillé une société d’ingénieurs et de construction sur l’utilisation de matériaux plus écologiques ou sur la préparation de repas offrant plus d’options végétaliennes. Et il encourage une plus grande transparence dans tous les secteurs d’activités opérationnelles, en aidant les clients à publier leurs cibles et mesures en matière de durabilité.
« La durabilité est un cheminement qui demande une détermination pour atteindre la carboneutralité », mentionne-t-il. « Nous travaillons donc activement avec les clients à nous concentrer sur décarboner leurs activités opérationnelles opérationnelles et faire ce qu’ils peuvent pour réduire leurs émissions autant que possible ». Ils pourront éventuellement se tourner vers Carbonplace, dit-il.
Bindu Dhaliwal, vice-présidente, Enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance, dit qu’aider les clients à passer à une économie à faibles émissions de carbone illustre le soutien décisif de la CIBC pour la durabilité. Le propre but de la banque est d’atteindre zéro émission nette dans ses activités opérationnelles opérationnelles et financières d’ici 2050. Et d’ici 2024, elle vise la carboneutralité pour ses activités opérationnelles, incluant 100 pour cent de sa consommation électrique qui sera tirée de sources renouvelables.
La CIBC a également augmenté son engagement pour la finance durable à 300 milliards de dollars d’ici 2030, afin d’appuyer des solutions commerciales durables et des activités de transition. En Amérique du Nord, la CIBC se classe actuellement dans les dix premiers appuis financiers à l’industrie de l’énergie renouvelable. Elle a aussi mis de côté 100 millions de dollars afin d’investir dans l’innovation technologique pour lutter contre les changements climatiques.
Bindu Dhaliwal note que la banque considère son rôle comme étant essentiel pour s’attaquer aux changements climatiques et aux questions environnementales. « Nous pensons que comme déclencheurs, étant une banque qui finance et investit, nous pouvons faciliter le changement en finançant et en investissant dans les modèles d’entreprise et technologiques qui sont nécessaires ».
Elle mentionne que ces investissements, de Carbonplace à d’autres innovations, sont conçus pour soutenir un avenir toujours en évolution. « Nous concevons des stratégies aujourd’hui, dans un monde où toutes les solutions technologiques n’ont pas encore été créées », dit-elle. « La CIBC est déterminée à jouer un rôle de premier plan, ce qui rend passionnant faire partie de notre banque pendant cette période ».
La CIBC compte sur les nouveaux diplômés pour concevoir le futur
Mikaela Maquiling était une étudiante en génie à l’Université McMaster à Hamilton, Ont., lorsqu’elle a intégré le programme coopératif de la CIBC en 2016. « J’avais alors déjà réalisé que le génie n’était pas ma passion », dit-elle, « et je réfléchissais pour trouver la bonne voie ».
Celle-ci s’est manifestée comme elle sortait du métro du centre-ville de Toronto pour commencer sa première journée en tant qu’étudiante inscrite à un programme coopératif. « J’étais là, marchant dans Commerce court du quartier financier, et pensant que cela ne ressemblait en rien à mon programme d’éducation », explique-t-elle.
Mikaela Maquiling fait partie des très nombreux étudiants qui postulent au programme coopératif de la CIBC et qui trouvent leur voie vers l’avenir à la banque.
Nous avons l’un des programmes d’attraction les plus importants au pays pour les professionnels en début de carrière », affirme Brent Chamberlain, vice-président associé pour l’inclusion, le recrutement sur le campus et les programmes professionnels.
Beaucoup d’étudiants qui accèdent à ce programme finissent par travailler à plein temps à la CIBC. L’an dernier seulement, la CIBC a embauché 2500 nouveaux diplômés, beaucoup ont passé un stage en coopératif de quatre, six ou douze mois à la banque.
Mikaela Maquiling a commencé son programme dans l’équipe de la sécurité de l’information de la banque. « Le travail était tellement différent par rapport à ce que j’avais connu jusqu’ici », se rappelle-t-elle. « Ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais tenu pour acquis à propos du milieu des grandes entreprises. Mon cerveau pouvait enfin respirer ».
Ses collègues l’ont accueillie sans hésitation. « Tout le monde a été gentil avec moi », dit-elle. « J’étais gênée au début, mais on m’a donné du travail à mener et qui était à moi, ce qui m’a aidée à sentir que j’étais une partie importante de l’équipe ».
CIBC compte sur des étudiants comme elle pour guider la banque vers le futur. « Le secteur financier change », mentionne Brent Chamberlain. « Les habiletés pour lesquelles nous recrutons aujourd’hui sont différentes de celles d’il y a cinq ans ».
Avant, par exemple, l’équipe des marchés mondiaux de la banque aurait recruté la plupart des nouveaux employés dans les écoles de commerce. « Maintenant », explique-t-il, « soixante-quinze pour cent d’entre eux sont issus des programmes de science, technologie, ingénierie et mathématiques [STIM] ».
Après 12 mois, Mikaela Maquiling a demandé une prolongation du programme coopératif, passant éventuellement au service des opérations technologiques de la banque.
« Au départ, les jeunes professionnels peuvent ne pas savoir exactement où ils veulent travailler dans la banque », dit Brent Chamberlain. « La CIBC leur donne l’occasion d’acquérir de l’expérience dans différentes équipes. Il y a très peu de secteurs de la banque où les nouvelles recrues ne travaillent pas ».
Mikaela Maquiling a fini par retourner à l’école, « en partie pour faire plaisir à mes parents, des immigrants », mentionne-t-elle, abandonnant son programme d’ingénierie pour un baccalauréat en commerce de l’Université York à Toronto.
Se joignant à nouveau à la CIBC en 2019, elle a commencé par une activité professionnelle plus créative, travaillant comme stratège en conception au sein de l’équipe innovation d’entreprise de la banque. « Nous sommes comme un groupe d’experts-conseils à l’interne », explique-t-elle. « Nous effectuons des études de marché, des recherches sur les utilisateurs, de la conception, et des analyses et de la planification de l’innovation ».
Comme une des sept personnes de l’équipe initiale, elle a remarqué une dépendance aux concepteurs externes pour traduire la vision graphiquement. « J’ai donc demandé d’être une conceptrice moi-même », mentionne-t-elle.
Avec le soutien complet de son gestionnaire, qui est maintenant aussi son mentor et parrain à la banque, Mikaela Maquiling a perfectionné ses habiletés en conception jusqu’à devenir assez chevronnée pour gagner le titre de conceptrice expérience utilisateur.
Depuis, son équipe a augmenté à 30 personnes, et elle en est devenue la conceptrice principale.
« Nous sommes une équipe jeune », mentionne-t-elle. « Pour certains, c’est leur premier emploi directement après l’école. Ce qui signifie que je peux partager mon expérience et mes connaissances d’une manière chaleureuse et amusante ».
Ayant grandi avec des parents des Philippines, elle affirme n’avoir jamais rencontré de concepteur philippin parce que les carrières en créativité sont peu fréquentes dans sa culture. « Maintenant je peux montrer aux autres, y compris aux Philippins, que ce n’est pas difficile », dit-elle. « La partie la plus chouette de faire partie de notre équipe est que je peux être moi-même ».
La Banque CIBC accueille des gens au style de travail différent
Lorsque Haddie Majnoon, directrice, Technologies des crimes financiers, à la Banque CIBC, est revenue d’un congé parental, elle allaitait encore son bébé et se demandait si la banque pouvait l’accommoder.
Même avec la flexibilité de travailler au bureau une seule fois par semaine, elle avait toujours besoin d’un endroit pour tirer son lait plusieurs fois par jour.
« C’était pour moi une source d’anxiété, dit-elle. Je ne pouvais pas aller dans une salle de recueillement, car les gens y vont pour prier et méditer. Je ne pouvais pas rester au bureau, ça aurait été une source de distraction. J’ai donc décidé d’utiliser les toilettes. »
Puis sa supérieure lui a dit que le CIBC SQUARE, le nouveau siège de la banque situé au pied de Bay Street à Toronto où son service allait déménager, avait une salle d’allaitement.
« J’ai eu les larmes aux yeux quand elle m’a fait l’annonce », dit-elle.
La Banque CIBC a conçu ses nouveaux locaux en tenant compte des besoins uniques de ses employés.
« Avant de commencer la construction, notre équipe de conception inclusive a pris contact avec les employés du réseau d’employés WorkAbility de la Banque, un groupe de ressources dirigé par des employés pour les membres de l’équipe ayant un handicap, et leur a demandé ce que nous pouvions faire pour les aider à créer un lieu de travail qui leur convienne, explique Steve Webster, vice-président de la gestion des activités en milieu de travail. »
« Nous voulions plus qu’une simple accessibilité. Nous voulions un lieu de travail où chacun se sente le bienvenu dès le premier jour. »
Donnant suite aux commentaires des employés, la stratégie de conception inclusive de la Banque CIBC est allée au-delà des normes du secteur, affirme Webster.
Le CIBC SQUARE comprend non seulement une salle d’allaitement pour les nouvelles mamans comme Majnoon, mais aussi un Legacy Space au septième étage, conçu en partenariat avec le Gord Downie & Chanie Wenjack Fund et avec la participation du cercle des employés autochtones de la Banque « pour favoriser un dialogue ouvert entre les peuples autochtones et non autochtones et pour montrer clairement que la réconciliation est une priorité pour la Banque CIBC », poursuit Webster.
À l’entrée de chaque salle de réunion, un panneau en braille est affiché pour répondre aux besoins des personnes malvoyantes. Le bruit à chaque étage est minimisé par des panneaux d’absorption acoustique, et les couleurs ont été choisies pour leur effet apaisant sur les occupants.
Il y a une salle de recueillement tous les trois étages où les employés peuvent se rendre pour prier ou méditer, et des toilettes universelles à chaque étage.
Les stations de restauration proposent des options végétaliennes et des menus conçus avec la santé et le bien-être en tête. Dans le stationnement, il y a plus de places pour les vélos que pour les voitures, et l’espace est équipé de douches et de vestiaires.
« Nous avons cherché à créer une expérience intégrale », explique Webster.
Comme d’autres employés, Majnoon, dont l’équipe développe une technologie permettant de mettre au jour les schémas associés au blanchiment d’argent et à la traite des êtres humains, a travaillé à domicile pendant les mesures sanitaires. Aujourd’hui, elle travaille dans un modèle hybride où elle partage son temps entre la maison et le bureau.
« Je suis une cheffe d’équipe, dit-elle, et j’ai souvent envie d’être avec mon équipe. »
Lorsqu’elle arrivera au CIBC SQUARE, Majnoon ne travaillera pas dans un bureau attitré. « Peu importe que vous soyez un vice-président principal ou que vous soyez à votre deuxième jour de travail, pratiquement personne n’a de place ou de bureau assignés », dit Webster.
Les employés, équipés de portables, se cherchent plutôt un poste de travail où ils trouvent des bureaux et des chaises assis-debout entièrement réglables et un accès au sans-fil haute vitesse.
« Lorsque les employés viennent au CIBC SQUARE, ils peuvent choisir parmi une variété d’environnements de travail en fonction de leurs activités de la journée, mentionne Webster. Ils ont tous les espaces dont ils ont besoin, qu’ils doivent travailler en équipe, se concentrer, accueillir des clients ou parler aux membres de leur équipe. »